Quelques mots
La balade continue sur Facebook : Errances Chromatiques
29 janvier 2006
Le temps
Le temps est à la fois une denrée inépuisable, puisqu'appramment éternel, et rare dans la mesure où une seconde ne se répètera jamais.
Qu'est-ce qu'une seconde ? A l'origine, c'est le 86 400e du jour solaire moyen. Malheureusement, cette définition ne garantissait pas l'exactitude d'une seconde du fait de l'irrégularité dans la rotation de la planète.
Ainsi, elle fut abandonnée au profit d'un moyen assurance cette régularité : la transition entre deux niveaux d'énergie d'un atome. Aujourd'hui, une seconde est définie comme la durée de 9 192 631 770 périodes de radiation correspondant à la transition de niveaux énergétiques hyperfins delétat fondemental de l'atome de césium 133.
Dans notre réalité, le temps sécoule inexorablement, mais en théorie et en pratique, le temps est relatif. Il "ralentit" à mesure que l'on s'approche de la vitesse de la lumière, c'est l'une des facette de la théorie de la relativité.
L'autre relativité du temps nous incombe. Qui n'a jamais trouvé le temps "long" alors qu'il s'ennuyait et trop "court" lors d'un bon moment ?
Reste que pour nous, pauvres humains, un jour est un jour et que les 24 heures qui le composent ne nous suffisent pas toujours.
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Natures mortes - Expression de sentiments
22 janvier 2006
Balade au fil de l'eau, histoires de reflets
Vous connaissez probablement le Vidourle à travers ses crues que l'on nomme "virdourlades". Voici une petite balade le long de ses berges. Quelques jeux de reflets autant dans l'eau que sur les champs.
Les terres cultivées autour d'un fleuve "assagi", cheminées, partout l'homme appose sa marque et essaie de plier les éléments à sa convenance.
Clin d'oeil n°2
Au balcon du monde
Un coucher de soleil sur un sommet loin de toute agitation, rien de tel pour se retrouver. Seul ou mieux, à partager en bonne compagnie, nous voilà au balcon du monde. Le silence semble suspendre le temps et le jour agonise dans un panache de couleurs indescriptibles. On est bien, calmes et heureux, c'est tout.
18 janvier 2006
Juste un rêve
Vision onirique d'arbres enveloppés dans une gangue de coton. L'espoir d'une vie plus simple sous des apparences confuses.
Plus terre à terre, c'est un bouquet d'arbres à l'Espérou, sur le massif de l'Aigoual durant une tempête de neige. La photo a été traitée de façon à renforcer la bande des rouges.
15 janvier 2006
Le Palais lunaire
Perles
La glace est un sculpteur surprenant. Elle peut naturellement prendre des formes diverses selon le support, le vent, la température...
Ici, elle s'est figée à l'image de perles le long d'un collier ou de cristaux de sels sur les feuilles.
Lorsque le givre dégèle, la vapeur d'eau s'élève, transformant un simple parc à jeux en un endroit magique.
08 janvier 2006
Retour sur une photo
L’obscurité abroge toutes les limites dans la mesure où notre « réalité » est principalement basée sur la vision. Paradoxalement, un lieu obscur génère une sorte de claustrophobie, probablement parce que notre principal sens devient inutile.
Cette photo symbolise la « remontée » d’un environnement obscur vers la lumière, tel que pourrait le percevoir un plongeur remontant des profondeurs d’un lac gelé vers un trou de glace.
Elle symbolise aussi ce que dirait Romain Gary « la promesse de l’aube », du moins, l’espoir d’une nouvelle aube après une période d’obscurité.
Pour moi, cette photo résume aussi le choix. Car un choix c’est après tout mourir un peu dans l’espoir de renaître sous des cieux plus cléments…
01 janvier 2006
Guirlande
J'adore le bleu. Bien que ce soit une couleur froide, je lui trouve un caractère magique et surnaturel.
Voici quelques photos toutes bêtes : une guirlande bleue sur un rideau écru.
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Bulles d'air
Quelques bulles d'air, comme un plongeur remontant vers le soleil, elles se détachent à contre jour.
L'artifice est simple : un mode macro, un cube de résine comprenant des bulles et une lumière variante (flash, ambiante ou torche placée derrière).
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Le Z de ...
Que peut-on faire avec une route légèrement en pente au crépuscule, une voiture bleue et une pause ?
Bein, le Z de zorro, pardi !
En pausant l'appareil sur le toit de la voiture, on arrive à obtenir un effet de parallèles entre le ciel et la carrosserie. Un flash en début de pause (15') et un diaphragme fermé (pour éviter la sur exposition due au flash) permettent d'éclaircir la carrosserie sans affadir la couleur des phares.
Le rai des phares termine le "Z".
Bein, le Z de zorro, pardi !
En pausant l'appareil sur le toit de la voiture, on arrive à obtenir un effet de parallèles entre le ciel et la carrosserie. Un flash en début de pause (15') et un diaphragme fermé (pour éviter la sur exposition due au flash) permettent d'éclaircir la carrosserie sans affadir la couleur des phares.
Le rai des phares termine le "Z".
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